Ceci est une lecture faite dans le cadre du mois anglais, qui met à l’honneur les livres d’auteurs britanniques pendant tout le mois de juin.
Titre : Quand Dieu était un Lapin
Auteur : Sarah Winman
Editions : J’ai Lu
Date de parution : Février 2015
Nombre de pages : 382
Quatrième de Couverture : Dans l’Essex en 1968, l’année où Paris est descendue dans la rue, où Martin Luther King a perdu la vie à cause d’un rêve et où Eleanor Maud Portman, surnommée Elly, est née. Ce livre raconte la vie de la jeune Elly avec ses parents, ses amis et son lapin baptisé Dieu. Une histoire de l’enfance, de l’excentricité, du pouvoir des liens familiaux, de l’amour…
Mon avis : Ce livre, c’est l’histoire d’Elly, jeune fille anglaise qui raconte sa vie de famille depuis son enfance, jusqu’à sa vie d’adulte. Je l’avais surtout pris pour le titre, qui m’avait intrigué. Et c’était une jolie découverte. C’est un de ces romans doudous qui se lit rapidement, où l’on s’attache vite au personnage et où on la suit sans vouloir la lâcher. Il n’y a pas beaucoup d’action, les personnages ne sont pas des super-héros, ils semblent même assez singuliers, et pourtant… C’est une lecture agréable.
« Il n’y avait plus ni gauche ni droite dans le monde de Ginger ; rien que la vie, droit devant. »
On suit Elly du début des années 1970 au début des années 2000, avec sa famille. Il m’est assez difficile de clairement raconter l’histoire de ce roman ; c’est au fond l’histoire d’une vie, de vies, comme je les aime. Un bon contemporain en somme. Le roman est divisé en deux parties : l’une sur l’enfance, l’autre sur l’âge adulte. J’avoue m’être un peu ennuyée à certains moments pendant la deuxième partie, il y avait quelques longueurs. Mais malgré cela, j’ai passé un bon moment de lecture, et je vous le recommande avec plaisir. A souligner également : je ne connaissais pas du tout l’auteure, mais elle a une très belle écriture !
Ce titre est en effet franchement marrant et donne très envie d’essayer !
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L’histoire n’est pas aussi « drôle » que le titre pourrait le laisser entendre, mais je te le conseille !
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Le titre donne très envie de découvrir l’intérieur du livre ! J’aime bien ton expression « romans doudous », ça me donne encore plus envie de l’ouvrir 🙂
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Je ne sais plus chez quelle blogueuse ou booktubeuse j’avais découvert ce terme, mais je trouve qu’il colle à merveille à ce livre !
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